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Pourtant, en dépit de cette affaire dans laquelle sont impliqués d'autres établissements de renom, Londres, avec le soutien de [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister[/url] la Commission européenne, entend tout pour préserver l'indice de [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] référence qui détermine le taux auxquels les banques [url=http://eaction.org.cn/home.php?mod=space&uid=540664][/url] se prêtent entre elles.
Dans cette foire d'empoigne transatlantique, les Etats-Unis tiennent la corde. M. Gensler est unanimement respecté dans le monde des régulateurs. Loin d'être complaisant envers , cet ancien de a mis au pas les opérateurs sans scrupule sur les .
C'est ce que l'ancien directeur général américain de la banque britannique a assuré au New York Times, publié le 2 mai, dans lequel il a aussi soutenu la campagne des Etats-Unis en vue d' cet outil qui sert d'étalon pour les 350 00 milliards de dollars (266 800 milliards d'euros) de produits financiers s'échangeant chaque jour.
Londres espère que la création d'un nouveau régulateur, l'augmentation du nombre de banques soumissionnaires ou la réduction draconienne du nombre d'indices publiés chaque jour permettront à la City de l'un des joyaux [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant sneakers[/url] de sa couronne.
L'entente anglo-américaine, selon les discours officiels, est traditionnelle et constante. En réalité, comme le montre la polémique [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] sur le Libor, elle est exceptionnelle dans les affaires financières. La raison tient à la concurrence effrénée entre la City et Wall Street dans la course au leadership mondial.
L'indice est élaboré d'après les soumissions quotidiennes des banques participantes qui estiment le taux auquel elles empruntent à leurs cons?urs. Les institutions qui forment ce "club" sont donc à la fois juge et partie. De plus, vu les réticences des [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] banques [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] à se prêter entre elles depuis la , le Libor [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] est devenu un instrument ne reflétant pas la vraie situation du marché.
Pour sa [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie[/url] part, le gouvernement britannique entend le Libor, tout en réformant sa gestion. Tirant les enseignements du scandale, , chargé de la protection du consommateur à la Financial Authority, le régulateur britannique des marchés, propose de le contr?le sur le taux.
Par ailleurs, la Banque des règlements internationaux, regroupant les grandes banques centrales, soutient le point de vue américain. Quant à l'appui de la Commission européenne, il est pénalisé par les soup?ons de fraude pesant sur l'Euribor, l'équivalent pour la zone euro du Libor londonien.
Ce gendarme, direct et tranchant, a aussi été à [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] l'origine des lourdes amendes qui ont frappé deux banques britanniques et une impliquées dans le scandale du Libor. Barclays a par exemple été condamnée à 360 millions [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] d'euros aux régulateurs américain et britannique.
Bob Diamond ignorait tout du fonctionnement du Libor (London interbank offered rate) jusqu'à l'éclatement, le 27 juin 2012, du scandale [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] de la manipulation de taux interbancaires par des traders, basés principalement à Londres, affaire qui devait lui co?ter sa place à la tête de la Barclays.
Soucieux de ne pas la réputation de la City, la tutelle britannique a longtemps tra?né les pieds. Le gouvernement de Sa Majesté ne para?t pas en mesure de répondre [url=http://www.matsue-yado.com/otoku/clip.cgi]jordan pas cher To Offer On E[/url] à l'offensive du chef de la CFTC. Désormais tutelle des banques, la Banque d'Angleterre sera dirigée à du 1er juillet par le [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] Carney, ancien collègue de M. Gensler chez Goldman, réputé hostile au Libor.
LOURDES AMENDES

Aux yeux de ce croisé de la lutte contre les spéculateurs de tout poil, un nouvel instrument fondé sur les transactions réelles doit le taux londonien. Washington estime que le de calcul du Libor est foncièrement biaisé.
Gary Gensler, président de la (CFTC), le régulateur des marchés à terme américains, s'est fait le chantre de la suppression du Libor : il s'agit, dit-il, de "restaurer [url=http://duncantrussell.com/forum/discussion/10247/tru-dat-wtf-ufo]jordan pas cher Some Tire Material That You Might Possibly Look At Valuable.[/url] l'intégrité des marchés et de la stabilité financière".