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PostPosted: Sun 10:34, 06 Oct 2013    Post subject: nike air jordan pas cher Les premières pertes de

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Parce qu'elles émanent de géants censés être parmi les établissements les mieux gérés [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de la , qui plus est strictement et régulièrement contr?lés par les autorités de régulation, ces annonces alimentent l'inquiétude des investisseurs et entament la confiance des marchés. Elles s'inscrivent dans un de défiance envers les banques, sous pression pour reconna?tre leurs erreurs. Un début de mea-culpa s'est ainsi récemment esquissé lors de l'assemblée annuelle du Fonds monétaire (FMI) des 21 et 22 octobre, à Washington. [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] "Des [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] erreurs ont été faites. Nous cherchons [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] des réponses au sein de notre secteur", a admis Josef Ackermann, le président de la Deutsche Bank. Le vice-président de Citigroup, William Rhodes, lui a embo?té le pas : "C'est notre responsabilité (...). Quand on émet un prêt, on doit en le co?t", a-t-il déclaré.
Pourtant, comme le soulignent d'autres économistes, les banques ne sauraient être tenues pour seules responsables de la . D'une part, parce qu'il n'y a pas eu de faillite collective du secteur bancaire, comme en attestent les résultats de certaines grandes banques restées à l'écart de la crise. D'autre part, parce que leurs autorités de contr?le ont également failli dans leur mission. Bon nombre d'analystes dénonce une réglementation insuffisante, dépassée par l'innovation financière, qui [url=http://www.qingdaobot.com/E_GuestBook.asp]hollister[/url] ne permet pas d' une idée claire des risques portés par les établissements financiers.
Pour Nicolas Véron, économiste au Bruegel, " le secteur public (les régulateurs bancaires) ne pourra pas plus que le secteur privé (les banques) faire l'économie d'une réflexion sur sa responsabilité et ses missions. [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Les banques ont mal apprécié les risques mais elles ne sont pas les seules, poursuit M. Véron, il s'agit moins d'une faillite collective des banques que d'un échec du système actuel de supervision".
Cette analyse est partagée par le professeur Bertrand Jacquillat, membre du Cercle des économistes : "Les banques ont été prises en défaut, le système s'est emballé. Nous allons à un retour, sans doute durable, à une finance plus traditionnelle et moins risquée. Les banques n'investiront [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] plus dans des produits opaques et mal ma?trisés, elles se méfieront des fonds spéculatifs."
Mais dans la soirée, une autre mauvaise nouvelle tombait, [url=http://www.tabletinchina.com\/showthread.php?545520-louboutin-The-Factors-That-Affect-Your-Motorcycle-Coverage&p=769747]The Factors That Affect Your Motorcycle Coverage[/url] en provenance cette fois de la deuxième banque des Etats-Unis, Bank of America, elle aussi prise dans le m?elstrom de la crise hypothécaire. L'établissement supprimera 3 000 emplois dans ses métiers de banque de marchés, et procédera à une revue détaillée de ses investissements dans ce secteur.
Pour beaucoup, le [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] secteur bancaire s'est laissé emporté dans une course aventureuse à la rentabilité. "Il faudra bien qu'on se pose la question de la soutenabilité des taux [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] de rentabilité de 30 % voire 40 % affichés [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] par toutes les grandes banques d'investissement, observe une grande agence de notation financière, est-on s?r qu'ils permettent d' une croissance s?re et pérenne ? Attention au retour du réel !".
Les banques ont failli une seconde fois en concentrant leurs risques sur un même marché, comme elles l'avaient fait à la fin des années 1990 dans le secteur des nouvelles en finan?ant des acquisitions à des prix excessifs de 2002 à 2006 dans le .
a fait Wall Street, mercredi 24 octobre. Rompant avec six années bénéficiaires, le prestigieux établissement a annoncé des pertes de 2,3 milliards de dollars (1,6 milliard d'euros) pour le seul troisième trimestre, en raison d'une exposition bien plus importante que prévue à la crise des immobiliers américains. Cette annonce a attisé la crainte d'un choc financier violent et durable outre-Atlantique.
Nombreux sont aujourd'hui les économistes à la responsabilité des banques dans une crise qu'elles n'ont pas vu . Patrick Artus, directeur de la recherche et des études chez Natixis, est l'un des plus virulents, estimant, dans une note datée du 17 octobre intitulée "? quoi servent les banques ?", que les banques ont failli dans leurs missions premières. Une première fois "en prêtant exagérément à [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] certaines catégories d'emprunteurs", alors que, rappelle M. Artus à l'appui de la théorie économique, elles sont censées "prêter [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] plus efficacement (que tout autre agent économique) gr?ce à l'information accumulée sur les emprunteurs".
L'impact de la crise a conduit Merrill Lynch à près de 8 milliards de dollars de valeur dans ses , soit [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] 2,4 milliards de plus qu'annoncé encore début octobre. Tandis que son PDG Stanley O'Neal - dont la presse américaine rappelait mercredi, qu'il avait gagné 51 millions de dollars en 2006 - laissait que la banque n'en avait pas fini avec la crise, Wall Street plongeait dans le rouge avant de se à la cl?ture, dans l'espoir d'une prochaine baisse des taux d'intérêt.

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