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Car le [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] secteur se développe à la vitesse grand V : sur 16 200 créations de postes dans le commerce de détail [url=http://www.jgdq.gov.cn/rd/E_GuestBook.asp]boots ugg[/url] entre 2006 et 2009, 8 300 se situaient dans le e-commerce aux particuliers, selon les derniers chiffres publiés par le Club des DRH du Net et la Fevad. Leur étude brossait également le panorama d'un univers ouvert aux jeunes : plus de 90 % des effectifs avaient moins de 40 ans en 2010. Derniers arguments pour ceux qui hésitent encore à se : "C'est l'un des seuls secteurs où l'on ne sait pas de quoi demain sera fait, note Claire Romanet. C'est une filière très créative, un marché où l'on peut sa propre place, avec de réelles progressions – managériales, salariales, stratégiques."
Un mouvement fortement corrélé aux évolutions technologiques, tremplin de cette saga depuis le début du siècle. "2002-2006 constitue la période où l'on a vendu le plus d'ADSL, dont les performances ont changé la donne", rappelle Marc-Fran?ois Mignot-Mahon, directeur du p?le et Créations de Studialis, un groupe comprenant plusieurs écoles du Web. Et, comme le souligne Catherine Barba dans une étude sur l'histoire du e-commerce, 2020 : La Fin du e-commerce... ou l'avènement du commerce connecté (à télécharger sur ) : "Les accès illimités haut débit améliorent spectaculairement le niveau des ventes en ligne."
Les usages d'Internet s'intègrent de plus en plus dans le quotidien. Une banalisation qui [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] brouille justement la perception que les jeunes ont [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] du secteur. "Ils n'ont aucune idée de toute l'infrastructure que cela sous-tend. Plus le Web devient la [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] norme, moins les jeunes se rendent compte des qu'il peut , constate Marc-Fran?ois Mignot-Mahon. Ainsi, il y a une très grande pénurie au niveau des postes d'ingénieurs et de développeurs." D'après des internes menées par Studialis, la proportion serait même de dix offres d' par dipl?mé à bac + 5.
UNE SATURATION DU MARCH? D?S 2016
Même sans de transactions, nombreux sont déjà les consommateurs à s' et à les offres sur le Web avant de se en magasin. Mais de plus en plus, Internet va d'étoffer les autour de l'offre en boutique. "Un site d'e-commerce n'est pas une boutique [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] de plus. Il est l'épicentre d'une relation nouvelle avec les clients", résume dans son étude. "Le cross-canal a déjà commencé et va s'intensifier", assure Marc Lolivier.
Directrice du cabinet de recrutement Elaee, déplore cette méconnaissance des métiers : "Les étudiants voient Internet sous l'angle d'un usage personnel. Ils ont le sentiment que tout ce qui concerne le Web est très technologique, alors que cela recouvre aussi des fonctions en communication, marketing, création graphique..." [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] Des créneaux sur lesquels les entreprises étoffent aussi leurs équipes : "Il y a [url=http://www.2000gtr.com/bbs_cgi/joyful_take3/joyful.cgi]tiffany outlet Mauvais élèves[/url] trois ans, le community manager était un généraliste. Aujourd'hui, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] nous déclinons ce métier en sept définitions de postes, de la rédaction à la veille économique."
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"Depuis 2000, la croissance est très régulière, portée par l'augmentation du nombre d'acheteurs et une offre de plus en plus importante", observe , [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] délégué général [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler/‎]doudoune moncler[/url] de la Fevad. 63 % des Fran?ais ont commandé gr?ce au Web en 2012, soit 2 points de plus qu'en 2010 et même 10 points si l'on se réfère à 2008, selon le Credoc.
OUVERT AUX JEUNES
Alors, pas le moindre nuage à l'horizon ? Dans un futur proche, non, répond le cabinet Xerfi-Precepta. Son étude, parue en avril 2012, prévoit une croissance annuelle de 15 % par an de 2012 à 2015. En revanche, elle prédit une saturation du marché dès 2016-2017. Selon la Fevad, cela correspondrait en fait à une nouvelle ère où les frontières entre boutiques et ventes [url=http://www.gameoverclan.co.za/index.php?site=forum_topic&topic=null]woolrich outlet Les graisses animales, nouvelle fi[/url] en ligne vont s' face au modèle du "commerce connecté", fondé sur la complémentarité.
Par ailleurs, la gamme d'articles accessibles sur Internet ne cesse de s'. D'une [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] part, les sites se multiplient – on en comptait 109 800 en juin 2012. D'autre part, leurs propriétaires se diversifient. "Après la vague des "pure players", on voit les enseignes [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] de la distribution pignon sur Web, et ce mouvement s'est accéléré ces deux dernières années", poursuit Marc Lolivier.
). Pas d'à-coups ni de mauvaises surprises : le traverse ces années de crise sans fléchir.
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?Aujourd'hui, avec la révolution des smartphones, voilà qu'émerge le "m-commerce". "Certains sites réalisent déjà 25 % de leur chiffre d'affaires sur mobile", déclare Marc Lolivier. Selon le Credoc, la demande se renforcerait en effet : 3,9 millions de Fran?ais utilisent leur téléphone pour en ligne. Une proportion qui a doublé en deux ans.
Dans le top 15 des sites marchands les plus fréquentés, on trouve aussi bien PriceMinister, e-Bay ou Vente-privée, dont l'activité se déploie exclusivement [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] sur le Net, que des traditionnelles telles Carrefour, Darty ou la Fnac.
R?VOLUTION DES SMARTPHONES