Wedding Dresses :: Topic review - hollister Lépine grecque du Fonds monétair

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D'habitude, le FMI intervient seul ou, à la rigueur, en partenariat avec sa soeur jumelle, la Banque mondiale. C'est lui qui pilote les opérations de sauvetage, dont il a une longue expérience. Pour la Grèce, il a d? avec les deux institutions européennes qui n'avaient pas son expertise et étaient empêtrées dans des considérations politiques sources d'atermoiements à répétition. "Ces lenteurs dans la décision ont eu un co?t important, commente un haut responsable. En effet, elles ont contribué à empêcher la confiance de , ce qui a poussé les consommateurs à ne pas et les entrepreneurs à ne pas ."
En trois ans, les Européens ont cessé d'être les "fous furieux" ambitionnant de la Grèce en [url=http://www.qiruiyaoye.cn/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=91985]woolrich parka Le Vietnam tente de résister à lexpansionnisme de lempire du Mi[/url] un ou deux ans que dénon?ait en privé le directeur général d'alors, . Ils ont appris les techniques d'un sauvetage ma?trisé. Il leur reste à présenter le bilan de leur action en Grèce avec ses ombres et ses lumières au [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Parlement européen et à leurs opinions publiques. Le plus t?t sera le mieux.
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En mai, le d'études bruxellois Bruegel avait publié un rapport "Financial Assistance in the : an " ("Assistance financière de la zone euro : première évaluation") où il était souligné que la Grèce ne se trouvait pas sur une "trajectoire" de convalescence. Le 6 [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] juin, le [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] FMI diffusait une analyse de sa participation au plan grec dont on a surtout retenu qu'elle critiquait les lenteurs de Bruxelles et qu'elle confirmait que ni la confiance ni une saine croissance n'étaient de retour à Athènes à la suite d'erreurs d'appréciations de la "tro?ka" sur les dég?ts causés à [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] l'économie grecque par les mesures d'austérité imposées. Pour le Fonds, la Grèce demeure bel et bien une épine dans le pied.
Le texte du FMI est plus riche que cela. Il rappelle que, pour la Grèce, il a d? ses propres règles en participant pour 30 milliards de dollars (22,6 milliards d'euros) au plan initial de 110 milliards adopté par la "tro?ka" : un pays ne peut de prêt qu'en proportion de son quota – sa participation au capital du FMI –, 500 % dans les cas les plus extrêmes. La Grèce, elle, s'est vue prêter 3 212 % de son quota. Il s'agit du programme le plus important de l'histoire du Fonds en proportion des quotas, loin devant les secours apportés à la et à la .
Trois ans après le sauvetage de la entrepris en mai 2010 par une "tro?ka" formée par la Commission européenne, la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire (FMI), le temps des bilans est venu. Et ils ne sont pas fameux, en dépit des regains perceptibles dans l'économie grecque.
In fine, le rapport du Fonds sur la Grèce pose la question d'une actualisation de ses compétences. Son mandat ne lui permet pas de plusieurs pays ensemble – une zone monétaire par exemple – comme il vient de le avec l' et comme le lui ont reproché un certain nombre de ses Etats membres tel que le . Christine Lagarde, sa directrice générale, pourrait bient?t à ses 188 Etats membres la [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]air jordan pas cher[/url] question de cette mise à jour rendue nécessaire par la régionalisation croissante des économies et l'interdépendance qui en résulte. Aucune économie ne vit plus en autarcie.
"Il était largement temps que le FMI tire les le?ons des déboires du programme grec, applaudit , coauteur du rapport Bruegel avec André Sapir et . Au vu des enjeux économiques, sociaux et financiers, un débat sur la question est indispensable. Le FMI a encore eu raison de que les r?les n'étaient pas bien définis au sein de la ''tro?ka''. Je regrette seulement que cette évaluation de l'efficacité du plan grec n'ait pas été réalisée conjointement avec les Européens, ce qui aboutit à [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] ce [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] que chacun renvoie sur l'autre la responsabilité des défaillances."
Troisième embarras du FMI : ses prévisions [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de croissance ont été trop optimistes, car la récession grecque a été beaucoup plus catastrophique que prévu. Les experts du FMI savaient qu'ils se trompaient et que la dette grecque [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] n'était pas soutenable, mais ils n'avaient pas d'autre choix que de persévérer dans l'erreur...
Ils étaient coincés par le blocage des Européens – [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] président de la BCE en tête, à l'époque – qui ont longtemps refusé la moindre restructuration de la dette grecque de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] peur de le reste de la zone euro. Ils l'étaient tout autant par les règles du Fonds qui interdisent de un programme de sauvetage si le redressement du pays n'est pas assuré. Ils ont donc peint en rose leurs prévisions de redressement... qui ont ensuite été démenties.
Ces coups de canif à l'orthodoxie ne gênent pas [url=http://pingdingshan.03958.com/read.php?tid=1515149&ds=1]nike air jordan pas cher The Reason Why You Select Bagoes Teak Furniture For You[/url] ses responsables. Certes, ces entorses au règlement sont regrettables, mais elles étaient indispensables, estiment-ils, pour éviter que le tout petit pays qu'est la Grèce ne devienne fauteur de pagaille mondiale en faisant la zone euro, un peu comme la faillite de la banque américaine Lehman Brothers avait mondialisé la crise des subprimes en 2008. Le bilan est donc balancé. C?té négatif, la confiance n'est pas revenue et la Grèce ne pourra pas la dette qu'elle a contractée auprès des institutions européennes. C?té [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] positif, la Grèce est toujours membre de la zone euro et l'économie mondiale a évité une deuxième méga-récession.