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avzkx8u2
Posted: Tue 5:54, 17 Sep 2013
Post subject: air jordan Internet, grandes surfaces... la guerre
LA PRODUCTION FRAN?AISE EN PREMI?RE LIGNE
Le 14 février reste toutefois sacré pour une majorité de Fran?ais. Les amoureux se montrent fidèles au bouquet traditionnel et privilégient les achats chez les fleuristes, rassure FranceAgriMer. "En 2012 comme lors des années précédentes, les fleuristes demeurent le lieu privilégié des achats de fleurs ou de plantes pour la Saint-Valentin, avec 61,1 % des volumes et 69,8 % des dépenses. Viennent ensuite les grandes et moyennes surfaces (21,8 % des [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] volumes et 14,4 % des dépenses) [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] et les jardineries spécialisées (7 % des volumes et 6,5 % des dépenses)."
L'EXCEPTION TRICOLORE DE LA SAINT-VALENTIN
Le romantisme est-il soluble dans la grande distribution ? Même le 14 février, les Fran?ais sautent de plus en plus la case "fleuriste" et [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] se contentent de au rayon "fleurs" du supermarché. En 2012, les 12 000 fleuristes fran?ais ont réalisé un chiffre d'affaires de 1,7 milliard d'euros. Ce résultat, qui reste honorable, a reculé de près de 50 % par rapport aux 3,3 milliards d'euros de chiffre d'affaires (FNFF) pour 2010. Cette année-là, on comptait 14 000 [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] fleuristes dans l'Hexagone.
Seulement 35 % des fleuristes sont des indépendantes, enregistrées comme artisans, selon la FNFF. Face à eux, les trois plus grosses enseignes de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] franchises (Le des Fleurs,? et – ces deux dernières appartenant au groupe Monceau) affichent un chiffre d'affaires de près de 200 millions d'euros pour près de 500 boutiques, selon les données diffusés par l'Observatoire de la franchise. Mais elles aussi souffrent et développent des stratégies "low cost", comme Happy, la marque du groupe Monceau Fleurs.
Là encore, la tendance est la même chez nos voisins européens. Selon la Flowers and , plus de la moitié des fleurs vendues en Grande- le sont en grande surface, et 90 % viennent de l'étranger, en , dans des conditions que les consommateurs exigent respectueuses ("fair trade" oblige), mais garantissant toujours des prix [url=http://movie.5see.com/home.php?mod=space&uid=150822][/url] compétitifs, comme le raconte le .
Rungis, premier marché de produits frais au monde, abritait [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] 41 producteurs d' début 2012, contre plusieurs centaines il y a trente ans. Les fleurs coupées venues d' et transitant [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] par les étouffent la production tricolore, où le chauffage des serres, les assurances, les engrais et les semis ont continué de se [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] renchérir au fil des ans.
"Dans ce contexte de double concurrence (multiplication des circuits de distribution [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] et développement des réseaux sous enseigne), les indépendants peineront à face à la hausse des prix des loyers et des [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] fonds de commerce, ce qui contraindra un grand nombre d'entre eux à céder leur pas-de-porte à des activités plus lucratives ou à adhérer à une enseigne", constate la fédération professionnelle.
Lire :
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STRAT?GIES LOW COST
Entre 2006 et 2010, le secteur de l'horticulture ornementale et de la pépinière a connu un mouvement de concentration, "qui s'est traduit par la disparition de près d'un quart des entreprises, soit un taux moyen de l'ordre de - 3,5 % par an, très comparable à celui de l'ensemble des exploitations agricoles. Le chiffre d'affaires horticole cumulé affiche une croissance faible, de l'ordre de 0,7 % par an, soit un recul en euros constants, si l'on tient compte de l'inflation générale sur la période", .
"La montée en puissance des autres canaux de distribution tend à créer un contexte concurrentiel difficile, reconna?t la Fédération : grandes surfaces alimentaires, surfaces de bricolage, jardineries et producteurs cherchent à des parts de marché du secteur en proposant une gamme étendue de végétaux d'intérieur." Ainsi, ces deux dernières années, seules les jardineries ont connu une progression de leur chiffre d'affaires en valeur et en volume.
UNE TENDANCE EUROP?ENNE
La vente à distance par ces "s de transmission" s'épanouit d'autant plus que le commerce s'étiole sur l'étal des fleuristes. En 2012, 55 % des commandes de fleurs chez Florajet l'ont été via Internet. Chez Interflora, Internet représente désormais 60 % du chiffre d'affaires.
Et cette tendance se confirme au niveau européen, indique une étude de la banque néerlandaise Rabobank.?Les cha?nes britanniques spécialisées dans le frais font partie des premières en à aviur per?u et exploité ce potentiel, selon Cindy van Rijswick. "L'exemple du montre qu'il y a un potentiel pour une augmentation des ventes de fleurs et de plantes dans les supermarchés d'autres pays européens", souligne l'analyste. "La segmentation croissante du marché va offrir de nouvelles possibilités aux fournisseurs, et une large part des ventes devrait passer par [url=http://www.jisuoxu.com/qd1/home.php?mod=space&uid=134242][/url] le canal des supermarchés", anticipe-t-elle.
Lire aussi le cas des vendeurs itinérants :?
En boutique, la baisse du pouvoir d'achat a eu pour conséquence de faire baisser le panier moyen d'environ 3 % l'an dernier. Selon une enquête de l'interprofession réalisée auprès de 600 fleuristes, environ 80 % des clients demandent des bouquets moins gros, les plantes en pot sont préférées aux compositions florales, tandis que les accessoires comme les vases et les cartes de v?ux sont délaissés.
Autre avantage significatif de la grande distribution : les volumes. Il est en effet plus facile de négocier les prix quand on commande 2 millions de roses plut?t que 2 000. Les grandes surfaces se [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] fournissent de plus en plus à l'étranger, via des centrales d'achat. La plupart des franchises ont aussi leur propre circuit d'approvisionnement. Un circuit qui passe de moins en moins par les pépiniéristes [url=http://www.americatownmovie.com]jordan pas cher[/url] fran?ais. L'an dernier, c'est l'un des plus anciens, Delbard, qui a failli la clé sous la porte.
Concrètement, la segmentation correspond à un découpage du marché selon les nouveaux types de . Cette segmentation exclut les acteurs les moins rentables, qui sont voués à dispara?tre. Par exemple, pour un mara?cher qui vendrait, en plus de ses légumes, des bouquets sur les marchés, le rapport "co?t-bénéfice" semble de plus en plus faible. Selon les dernières données disponibles de Xerfi et FranceAgriMer, ils représentaient environ 7 % de part de marché, et "leur nombre est en constante diminution" d'après la FNFF.
Car "les fleuristes détiennent un certain nombre d'avantages concurrentiels : leur image de spécialiste, leur capacité à les clients, leur implantation en -ville... Ils restent le premier circuit de distribution du secteur", insiste la FNFF. Atouts majeurs : la fra?cheur du produit, la présentation et le service, notamment les livraisons. Interflora et Florajet ont d'ailleurs lancé un "drive piéton", permettant de commander ses bouquets sur Internet avant de passer les prendre en magasin.
Car pour sur le marché floral, rien de tel que les prix les plus bas possible. Contrairement aux boutiques, les grands noms de la distribution bénéficient d'une cha?ne d'approvisionnement solide et expérimentée, qui permet de réaliser des économies d'échelle. "La grande [url=http://www.coffeeraymond.com/home.php?mod=space&uid=84066][/url] et moyenne surface, puis les fleuristes franchisés, sont à l'origine de cette consolidation, qui a eu pour conséquence la réorganisation de l'ensemble de la cha?ne d'approvisionnement", explique .
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