avzkx8u2
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Posted: Fri 6:54, 18 Oct 2013 Post subject: woolrich outlet Mme Royal est parvenue à bouscule |
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"Mme Royal ne m'en voudra pas, mais comme elle a évoqué tous les sujets en même temps... On ne va pas ...", observe avec un satisfait M. Sarkozy, qui place ainsi son premier message sur le "flou" prêté au programme de la candidate socialiste. Réplique immédiate et ferme de MmeRoyal. "Laissez-moi la responsabilité de mes prises de parole, si vous le voulez bien." "La précision n'est pas inutile dans le débat public...", glisse M. Sarkozy, qui semble l'avantage sur sa rivale.
Ségolène Royal jette quelques regards sur les fiches posées devant elle. Des chiffres pleuvent. Nombre de ch?meurs, déficit de la Sécurité sociale, niveau moyen des retraites, statistiques des agressions, pourcentage d'augmentations des violences à l'école "depuis les cinq dernières années". Et aussit?t, les yeux plongés dans ceux de son adversaire, une question directe : "M.Sarkozy, estimez-vous que vous avez une part de responsabilité dans la situation dans laquelle se trouve la France aujourd'hui?"
Il est déjà 23h10, l'Europe, le Darfour et l' apaisent un peu le débat. Mme Royal parvient toutefois à les mots "brutal" et "dangereux" à propos de M. Sarkozy sur la question des sans-papiers. Elle n'entend pas les rappels des journalistes sur l'horaire déjà [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] largement avancé et le dépassement de son temps de parole, dont M. Sarkozy lui fait "bien volontiers" [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] cadeau pour se h?ter vers sa conclusion. Ses mots sont prêts, polis comme des galets. Il rend hommage "au talent et à la compétence" de celle qu'il présente "davantage comme une concurrente que comme une adversaire". Elle esquive l'hommage réciproque. "Le débat politique, c'est d'abord un débat d'", relève-t-elle.
Nicolas Sarkozy se tourne vers la caméra pour s' "aux Fran?ais" : "Je ne les décevrai pas, je ne les trahirai pas, je ne leur mentirai pas", conclut-il. Même regard caméra pour Ségolène Royal qui évoque Angela Merkel et invite [url=http://www.studsboll.net/vanilla/discussion/60661/giuseppe-zanotti-foam-insulation-a-boon-to-buildings-business-article]giuseppe zanotti Foam Insulation A Boon To Buildings - Business Article[/url] les électeurs "à [url=http://hdtjj.hzsin.gov.cn/guestbook.asp]hollister[/url] le choix de l'audace et de l'avenir" pour "une France présidente". Le compteur affiche 74 minutes et 20 secondes de temps de parole pour MmeRoyal, 72 minutes pour M. Sarkozy. Ce compteur-là ne les intéresse plus.
Cet avantage, il espère bien le sur la question des 35 heures, en dénon?ant la "stricte logique socialiste du partage du temps de travail". "Si vous pensez que les 35 heures ont fait autant de dég?ts, pourquoi ne les avez-vous pas supprimées pendant ces cinq ans?", rétorque MmeRoyal. "Je serai la présidente de ce qui marche, sans ?illères", lance-t-elle en conclusion de cette première [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] partie du débat. "Je veux être le président qui fasse que ce qui ne marche pas, marche", lui répond le candidat de l'.
Le thème des "s" en matière de santé, et [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] retraite offre à M. Sarkozy une occasion de querelle sur la précision. "Je veux les petites retraites tout de suite", annonce MmeRoyal. "Vous les payez comment? – Par une taxe sur les revenus boursiers. – De combien? – Les partenaires [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] sociaux décideront. Je vous donne déjà les principes. – C'est d'une précision bouleversante!", observe-t-il, avant de se à son de candidat apaisé. "Les retraites, c'est un sujet qui devrait consensus entre la gauche et la droite..." MmeRoyal décline et annonce sa volonté de "remettre à plat les lois Fillon". "Vous voulez tout démolir?", insiste-t-il. "Remettre à plat, ce n'est pas démolir, vous êtes très brutal", dit-elle. Il devient mordant. "Sur l'idée de Fran?ois Hollande de créer une CSG supplémentaire... – Vous [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie pas cher[/url] ferez un débat avec quand vous le souhaiterez. – Cela ne vous engage pas? – Non. – Très bien, il sera content de l'."
M. Sarkozy se tasse sur son fauteuil, sonné. "Ce n'est pas gentil de des choses comme cela", dit-il. Il cherche une [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister pas cher[/url] porte de sortie en évoquant la question des "enfants handicapés dans les écoles", mais c'est une colère qui s'engouffre. "Là, on atteint le summum de l'immoralité politique. C'est moi qui ai créé le plan Handiscol et c'est votre gouvernement qui l'a supprimé!", s'enflamme Mme Royal. "Calmez-vous ! – Non, je ne me calmerai pas. Il y a des colères saines!" Le candidat de l'UMP croit la faille. Il lui reproche de "perdre ses nerfs" et ajoute : "Pour être président de la République, il faut être calme." Patrick Poivre d'Arvor propose une diversion. "Peut-être pourrait-on au sujet de l'..." Il se fait par la candidate. "Vous permettez. Moi aussi, j'ai l'intention de me respecter!" Le débat se poursuit, de plus en plus vif. "Il faut ses nerfs et des mots qui ne blessent pas", répète M. Sarkozy. Elle le fixe, railleuse, presque canaille : "Vous êtes blessé?" "Non", répond-il. "Donc tout va très bien!", lance-t-elle.
?", leur demande Arlette Chabot. a été désigné par le tirage au sort pour être le premier à s'. Phrases courtes, ton assuré, réponses précises, presque disciplinées. Il veut être, dit-il, un président qui "prend ses responsabilités" dans une "République irréprochable".
La fiscale s'invite à son tour dans le débat. Mme Royal évoque cette "riche héritière qui, gr?ce à vous et au bouclier fiscal, va un chèque de 7 millions d'euros". M. Sarkozy ne "conna?t pas cette dame", mais se souvient une nouvelle fois de M. Hollande "qui a dit qu'il n'aimait pas les riches". "Il ne doit pas s' lui-même...", souffle-t-il. Elle ne relève pas. Sur l'environnement et [url=http://www.shewyne.com/hoganoutlet.html]hogan outlet[/url] le , elle reprend l'offensive, très s?re d'elle et cherche son regard, qu'il préfère réserver aux journalistes. "Vous venez de une série d'erreurs, il faudra que vous révisiez un peu votre sujet !", ironise-t-elle à propos des réponses de M.Sarkozy sur l'EPR.
Mais c'est l'éducation et la politique familiale qui offrent à la candidate socialiste la plus belle occasion de s' face à son contradicteur. Il vient d'évoquer le "droit opposable" à la garde d'enfant. Mme Royal retient [url=http://www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html]giuseppe zanotti[/url] un fou . "Les femmes vont devant le tribunal pour une place en crèche? Mais soyez sérieux! C'est [url=http://www.marve.net/cgi/kissa/bbs/bbs.cgi]louboutin pas cher L'UMP et l[/url] cela la société que vous proposez ?", s'exclame-t-elle.
On y est. Trois minutes à peine après l'ouverture du débat, le ton de la confrontation est donné. A Mme Royal, la bataille de la compétence, et la vivacité combative sur le "bilan", quitte à des libertés avec les thèmes que tentent d' les deux journalistes au profit de ceux qu'elle a choisis. A M. Sarkozy, la sérénité affichée du favori qu'il espère asphyxiante pour Mme Royal. "Vous avez parfaitement raison", "je ne [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie soldes[/url] veux pas polémiquer", répète-t-il. Elle se dégage de ses rets, vient le sur son terrain favori – "Il [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] y a deux jours, une femme policière s'est fait tout près de son commissariat" –, l'interrompt, jongle [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] avec les sujets, nombre de fonctionnaires, de l'h?pital public, décentralisation, réforme de l'Etat, lutte contre la pédophilie, réduction de la dette et ode aux petites et moyennes , au risque de la confusion.
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