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Dans ces conditions, Mittal père et fils ne cessent de leurs plans pour des marges de man?uvre financières : [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] réduction des co?ts, cession d'actifs, abandon de certains projets, baisse des investissements. Et fermeture des sites les moins rentables. Ceux qui étaient sur la liste noire [url=http://www.memearts.com/forum/investing-in-art/229452-barbour-jacken-outletsystem-drei-ist-eine-echte-sensation/reply]barbour Comment la Grèce en est arrivée là - LeMonde.fr[/url] d'Arcelor en 2003.
Ce plan a relativement bien fonctionné. [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] Les pertes financières sont restées contenues. Mais en , la tempête ne s'est apaisée que peu de temps, pour de plus belle. De [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] quoi les espérances de Mittal.
. C'était en 2006. Un milliardaire [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] indien, installé à Londres, s'emparait à la surprise générale d'Arcelor, l'"Airbus de l'acier" né quatre ans plus t?t de la fusion du fran?ais Usinor, de l'espagnol Aceralia et du luxembourgeois Arbed. A l'époque, le monde vivait une période de forte croissance, et la sidérurgie avec.
L'argument avait fait mouche. Six ans plus tard, Liège est fermé, et [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] Florange risque le même sort. Devenu ma?tre des forges européennes, Lakshmi Mittal a pourtant commencé par parole. Le plan concocté par son prédécesseur a effectivement [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] été mis sous le boisseau et, pendant deux ans, le groupe a fait ses usines à plein.
En , l'action a chuté de 80 [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] % en cinq ans. Et début ao?t, le groupe a vu sa notation dégradée en catégorie spéculative par Standard & Poor's, la sanction qu'il tentait d'éviter depuis des mois.
"Lors de la pointe de , début 2008, [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=330564537225&ssPageName=STRK:MESE:IT]ugg pas cher Le gouvernement [/url] [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] et bien que toutes les [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] unités de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] production aient alors été en marche, l'offre a eu du mal à répondre à la demande", rappelle l'expert dans un récent rapport au gouvernement sur la filière acier.
PLONGEON DE LA DEMANDE
Cela place [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] le numéro un mondial de l'acier dans une situation que les marchés financiers détestent, avec un endettement très lourd et des profits devenus bien minces : sa marge nette ne devrait pas dépasser 1,7 % cette année, estiment les analystes, quand elle tournait autour de 10 % entre [url=http://www.zuiaisofa.com/news/html/?286013.html]barbour uk In Relation To A Comprehensive Monitor For Exercising The Particular Sportline Men's Solo 960 Is A Good Option[/url] 2005 et 2008.
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Un contexte si porteur que, dans le cadre de l'OPA, avait pu l'abandon des projets de restructuration prévus par les dirigeants d'Arcelor. Il se disait prêt à Florange, Liège et plusieurs autres hauts-fourneaux, condamnés à terme par la direction précédente parce que trop éloignés des ports d'importation du minerai de fer.
LE BOULET DE LA DETTE
Aujourd'hui, "la sidérurgie européenne ne représente plus un marché de croissance pour le groupe, alors que son principal actionnaire a organisé, il y a moins de dix ans, une OPA majeure centrée précisément sur la sidérurgie européenne", résume Pascal Faure. Un retournement d'autant plus compliqué pour Lakshmi Mittal que son groupe souffre d'une dette élevée, héritage des acquisitions accumulées lors des années fastes.
Mais l'incroyable crise de 2008-2009 a remis en cause la belle histoire qui commen?ait à s'écrire. Face au plongeon de la demande, Lakshmi Mittal et son fils [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Aditya, son bras droit, ont choisi d'arrêter au moins provisoirement toute une série d'usines. Objectifs : empêcher une chute des prix de l'acier, et éviter que la sidérurgie ne renoue avec des pertes abyssales. Avec l'espoir de redémarrer les installations une fois la tempête passée.