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"Je pensais que l'Etat assumerait sa politique immobilière. (...) J'ai trouvé très moyenne la réaction [de Matignon], ambigu? et peu claire. Pourquoi Fillon se tait ? Pourquoi M. [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Baroin, qui est le responsable des ventes immobilières de l'Etat, ne dit rien ? J'ai eu une discussion un peu vive avec lui avant No?l. Je ne ferais pas comme ?a, à sa place..."
?"Il s'assoit à l'avant-dernier rang. Mais, parce qu'il met un point d'honneur à 'se montrer', il ne se sauve pas sit?t le discours présidentiel [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] achevé. Il s'approche de Fillon : 'J'aimerais vous entendre, toi, [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] Baroin et compagnie. J'ai besoin que ceux qui sont responsables de la [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] politique immobilière de l'?tat aient le courage de s'exprimer pour rappeler qu'elle consiste à vendre ce qui n'est [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] pas?stratégique.' (...) ? l'?lysée, ce soir-là, flottait sur les lèvres de Woerth un sourire incertain. [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] Jusqu'alors, il n'était pas mécontent que Fillon loue sa placidité : 'Heureusement que c'est toi.' Sous-entendu : un autre aurait craqué."
"Je ne devrais pas dire ?a à propos de la justice, mais c'est tellement dingue. Il n'y aurait pas eu Compiègne s'il n'y avait pas eu Bettencourt. C'est vraiment parce qu'on veut [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] me chercher."
Le Point rapporte une scène qui s'est déroulée lors des v?ux de Sarkozy aux parlementaires, le 12 janvier :
Dénon?ant un "acharnement" et une "chasse aux sorcières", il s'en est pris à "l'incompétence" et à "la malveillance" de "ceux qui ont [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] écrit" sur lui, s'estimant "mille fois plus intègre" qu'eux. Malgré cela, il se dit être "le contraire d'un homme seul [url=http://home.789179.com/home.php?mod=space&uid=124144&do=blog&quickforward=1&id=277902]abercrombie pas cher Six Français sur dix pour la[/url] et abandonné". "Je prends le métro souvent, j'ai des témoignages de soutien. Les Fran?ais ne sont [url=http://ermama.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=853609]barbour Le bilan du crash aérien en RDC salourdit, passant à 52 morts[/url] pas [url=http://www.citichuizhou.com/bbs/home.php?mod=space&uid=96441][/url] dupes", a-t-il raconté, avant de conclure : "Je n'en veux en personne, au fond." Le son de cloche est assez différent dans Le Point , qui a les "confidences agressives" de l'ancien ministre. Faisant part de sa "solitude", il déplore de ne pas avoir re?u "plus d'appuis de la part de Fran?ois Fillon et de Fran?ois [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] Baroin".
Avant les fêtes de fin d'année, il et martelait qu'il "n'[était] pas mort".
Après que cette décision de la CJR a été prise, il déplore le "monde de fous" dans lequel il évolue :
L'hebdomadaire a rencontré, lors d'un déjeuner, le député-maire de Chantilly le 12 janvier, soit la veille de la décision de la CJR. Mais M. Woerth anticipait d'ores et déjà une "mauvaise nouvelle".?"De toute fa?on, je n'ai que de mauvaises nouvelles, ces temps-ci..."
Mais Eric Woerth "n'en veut à [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] personne".
Au [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] micro de RTL, il a dans la vente de cette parcelle. "Pour maximiser les recettes [de l'Etat], il faut céder des biens immobiliers", a-t-il répété, précisant : "Si c'était à refaire, je le referais."?
Eric [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] Woerth semble aujourd'hui moins serein. Alors que la Cour de justice de la République (CJR), seule habilitée à juger les actes d'un ministre dans l'exercice de ses fonctions, a pour la vente par l'Etat, en mars 2010, d'une parcelle de la forêt de Compiègne à une société de courses hippiques, l'ancien ministre s'en est tenu à sa ligne de défense habituelle.