avzkx8u2
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Posted: Wed 18:19, 18 Sep 2013 Post subject: hollister sale Lobésité, une affaire de mo |
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Pour défendre leur théorie, [url=http://thehoyaalumni.org/index.php/component/blog/comments?pid=4653]hollister sale Mastering The Simplest Way It Is Po[/url] les deux nutritionnistes parisiens s'appuient sur la liste des ingrédients relevés sur quelque 5 000 produits alimentaires à bas co?t, hard discount et premiers prix des grandes surfaces. Pointant l'utilisation abusive de sirop de glucose-fructose, la faible [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] proportion de viande dans les nuggets et autres cordons bleus, les ajouts de protéines et d'amidon de ma?s, etc., ils dénoncent une "inégalité alimentaire insidieuse". En clair : moins c'est cher, plus c'est mauvais pour la santé, ce qui expliquerait, en partie, pourquoi la prévalence de l'obésité atteint 17 % dans les foyers disposant d'un revenu mensuel inférieur à 900 euros, contre 8,1 % dans ceux vivant avec plus de 5 300 euros par [url=http://www.hkhobby.com/forum/viewthread.php?tid=2919153&extra=page%3D1]barbour sale Halte au x , prononcez double s . Gutturales versus sifflantes[/url] mois.
De là à que seuls [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] les produits premiers prix - parce qu'ils ont une moins bonne composition nutritionnelle - font le lit de l'obésité, il y a un pas que Nicole Darmon, spécialiste du lien entre alimentation et précarité à l'Inserm, refuse de . "L'obésité est due bien davantage au manque de de fruits, de légumes, de viande maigre du fait du co?t élevé de ces aliments", souligne la chercheuse. Pourtant, dans les grandes surfaces, où s'effectuent 90 % des achats alimentaires, il existe un large choix pour un même budget : on peut par exemple s' vers des plats préparés (riches) ou leur préférer des légumes en conserve. "Le problème est que les gens n'ont pas forcément envie de ces aliments", indique Jean-Michel Lecerf, médecin à l'Institut Pasteur et au CHU [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] de Lille.
C'est surtout la valeur symbolique et statutaire que possèdent, aux yeux des personnes les moins favorisées, certains produits qui fait des ravages. "Quand un aliment est consommé par des classes sociales élevées, vous le convoitez. Si son prix baisse, celui-ci va représenter ce que pouvez espérer de mieux, pour vos enfants notamment. En ce sens, la nourriture est la récompense la plus facile et la plus accessible", analyse M. Lecerf. Ainsi, les familles les moins aisées vont préférer un croissant [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] industriel, riche en graisses, à un morceau de baguette avec une barre de chocolat. "Le croissant c'est le , le pain c'est la régression sociale", analyse Sylvie Benkimoun, psychologue. "Il faut de pour une mauvaise mère, celle qui ne donnera qu'une tartine et une pomme au go?ter", confirme le pédiatre Myriam Costa.
Partir de l'étiquetage indiqué sur les produits ne suffit pas. "Les chercheurs se heurtent à la composition nutritionnelle précise des aliments. Il faudrait, de manière urgente, qu'un organisme public mène une analyse indépendante car il s'agit d'un problème de santé publique", appelle de ses voeux Nicole Darmon. La direction [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] générale de la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] santé (DGS) devrait prochainement l'Agence fran?aise de sécurité des aliments (Afssa) pour qu'elle se penche sur la composition des aliments en fonction de leur prix. Les docteurs Sérog et Cohen ont "soulevé un loup, une vraie question, mais [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] tirent des conclusions h?tives", résume le professeur Basdevant.
"Dans pratiquement tous les aliments industriels, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] on trouve des graisses végétales hydrogénées, qui sont aussi solides que le beurre mais nettement moins chères. Elles ont les défauts des graisses saturées", [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] explique Laurence Wittner, auteur de La Vérité sur les étiquettes alimentaires, (éd. [url=http://www.speakeasy.jp/sebbs/index.cgi]hollister sale Requiem pour l[/url] Leduc). De la même fa?on, l'utilisation d'exhausteurs de go?t (les glutamates) se multiplie. Leur vocation est d' artificiellement du go?t à un aliment qui n'en a pas assez. La raison ? C'est l'appétence pour un produit qui provoque l'achat. Et le client sera toujours attiré par le plus sucré, confie-t-on chez Danone.
D'abord, il y a la recette (un biscuit fourré est plus calorique qu'un biscuit sec). Ensuite, la qualité nutritionnelle varie selon les choix effectués par l'industriel. S'il rogne sur la qualité des , pour préserver ses bénéfices ou les prix, le fabricant utilisera des procédés critiques pour la santé (comme l'hydrogénation). Il utilisera des additifs chimiques qui feront la piètre qualité des ingrédients de base et augmenteront le nombre de calories du produit.
Enfin, en l'absence d'étiquetage [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] nutritionnel clair et systématique (celui-ci n'est obligatoire que pour les produits affichant une allégation santé), les mentions publicitaires sur les emballages trompent. [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] C'est le cas, par exemple, de produits "allégés" dans lesquels on a augmenté la graisse pour une diminution du sucre (et inversement).
Qu'il y ait une relation entre le co?t de l'alimentation et la densité calorique, "tous les économistes connaissent cela par coeur", rappelle Arnaud Basdevant, chef du service de nutrition de l'H?tel-Dieu à Paris. Moins on mange cher, plus on mange gras ou sucré. Un paquet de biscuits fourrés est bien moins onéreux qu'un kilo de courgettes ou de cabillaud frais. En général, la cuisine faite à la maison est moins calorique que l'industrielle. Mais des différences existent à l'intérieur d'une même de produits, qu'il s'agisse des "premiers prix" ou de ceux des grandes marques.
"Entre deux produits apparemment identiques on croit la même chose en choisissant le premier prix alors que c'est faux", explique le docteur Cohen. "Notre amène à réhabiliter les produits des marques", reconna?t-il, assurant que la fonction de consultant pour Nestlé et Lesieur de son confrère le docteur Sérog n'aurait en rien influencé leur guide.
dans les librairies (déjà 140 000 exemplaires vendus) mais suscite un débat parmi les spécialistes de la . Les auteurs de cet ouvrage, les docteurs Jean-Michel Cohen et Patrick Sérog, ont, ces dernières semaines, écumé [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] les plateaux télé pour que les produits "premiers prix" auraient une qualité nutritionnelle plus que médiocre et seraient susceptibles de à la progression de l'obésité, notamment dans les milieux défavorisés.
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