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Bien que contestés sur l'ampleur de la participation tout comme sur les scores obtenus par les deux principaux partis de la majorité présidentielle - le FLN et le Rassemblement national démocratique (RND) du premier ministre , arrivé en deuxième position avec 68 sièges -, les résultats des élections législatives n'en reflètent pas moins une [url=http://www.electricbbs.net/thread-16247-1-1.html]moncler sito ufficiale Pour une mobilité durable[/url] réalité. Certes, la règle de la redistribution des voix perdues par les petites listes au plus fort reste, dans ce scrutin proportionnel à un tour, a permis, aussi, de le score du FLN. Mais quoi qu'ils aient prétendu avant le scrutin, les islamistes en lice, qui pensaient de la [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4Pcs-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-LIGHT-STRIP-YELLOW-/320606899868]abercrombie pas cher Un trou [/url] vague verte liée au "printemps arabe", allant, pour certains, jusqu'à déclarer qu'ils préparaient déjà le futur gouvernement, ne pouvaient pas espérer l'. Leur arrivée en tête dans Alger la rebelle, unique sur tout le territoire, ne doit pas illusion.
Omniprésent sur la scène [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] politique algérienne, le vieux parti historique devra le changement en s'occupant de tout, y compris de l'islamisme. C'est ainsi qu'a été traduite, au grand dam d'une partie du courant nationaliste, la présence en quatrième position sur la liste FLN d'Alger, de l'ex-épouse, , du Cheikh d'origine égyptienne installé au Qatar et prédicateur vedette de la cha?ne de télévision Al-Jazira, .
Comme d'autres, et peut-être même plus que d'autres, le MSP a subi les accusations de compromission, de corruption, et d'incompétence, lancées par les Algériens à la face de leurs dirigeants politiques. Le jour du vote, les "barbus" de ou de Belcourt, hier fiefs du FIS, sont restés chez eux. "Le FIS [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] n'a jamais été un parti mais un mouvement de masse, souligne Zoubir Arous, sociologue, spécialiste des courants islamistes. On le retrouve encore dans les 57 % d'abstention qui ont marqué officiellement ce vote. L' radical n'a pas disparu, ce sont des courants dormants."
Abbès, l'ex-parti unique a raflé l'ensemble des sièges, la quasi-totalité à [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] Tlemcen, Arreridj ou Tiaret...
Pour le algérien, le danger ne venait donc pas de leurs partenaires dont il s'était, jusqu'ici, fort bien accommodé, mais de l'extérieur, de la poussée islamiste incontr?lée et du risque de déstabilisation engendré par les révoltes dans les pays arabes voisins. "Le clonage des expériences vécues par nos voisins ne pouvaitpas se , déclare au Monde, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem. Nous avons connu le pluralisme qui a abouti à une razzia dans les communes en juin 1990 [avant l'interruption, en décembre 1991, des législatives] et les gens ont vu comment elles ont été gérées. Ils ont été vaccinés."
Les partis islamistes algériens qui [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] se sont présentés devant les urnes ne sont pas des inconnus. Ils ne sortent pas de la clandestinité, comme en , ou de [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] l'opposition, comme le Parti et développement (PJD) au , tout au contraire. [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] La principale formation islamiste algérienne, le Mouvement de la société pour la paix (MSP, ex-Hamas) à la tête d'une coalition avec deux autres formations (Al-Islah et Ennahda), baptisée "Alliance verte", est liée au depuis 2004. Bien qu'ayant pris ses distances peu avant les élections en sortant de la majorité présidentielle, le MSP avait maintenu ses quatre ministres dans le gouvernement, dont [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] , ministre des [url=http://www.fyread.com/viewthread.php?tid=34237&extra=]tiffany Le cloud est une passoire[/url] travaux publics, islamiste sans barbe.
La victoire écrasante du FLN revêt un caractère, selon l'expression de son secrétaire général, , "hautement symbolique" alors que l'Algérie s'apprête à fêter, le 5 juillet, le cinquantième anniversaire de son indépendance. C'est surtout, un message : "printemps arabe" ou pas, les islamistes ne parviendront pas au en .
En 1991, devant la victoire annoncée du Front islamique du salut - ex-FIS, aujourd'hui dissous [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] -, le processus électoral avait été interrompu en catastrophe, ouvrant la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] voie à un terrible conflit, qui fit durant une décennie entre 100 000 et 200 000 morts. Trente ans plus tard, le courant nationaliste a pris les devants en organisant un match perdu d'avance pour ses adversaires. "C'est un peu le message syrien, la violence en moins", commente le politologue Mesbah, un ancien supérieur [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] de l'. "Cela ouvre de nouveau la voie à l'islamisme radical, qui ne cherche plus la confrontation directe avec le , mais qui attend aujourd'hui que la situation m?risse", ajoute-t-il.
Pour se protéger, le régime n'a pas hésité à la menace de la "main étrangère", de l'intervention de l' en , à l'activisme déployé dans toute la région par le - où réside toujours l'ex-leader du FIS, Abbassi Madani. "Nous [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] avons une jalousie maladive de notre souveraineté. Pour d'autres, c'est un défaut, pour nous, c'est une qualité", ironise Abdelaziz Belkhadem. Contre [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] le "printemps arabe", le FLN, hier encore menacé par une grave crise interne, a donc fait à merveille fonction de bouclier. "Il fallait absolument le contr?le de l'Assemblée pour à une révision unilatérale dela Constitution", juge Mohamed Chafik Mesbah.