avzkx8u2
Joined: 09 Aug 2013
Posts: 10761
Read: 0 topics
Warns: 0/5 Location: England
|
Posted: Sun 12:21, 06 Oct 2013 Post subject: abercrombie soldes Deezer dans la cour des grands |
|
|
Dans le champ du streaming musical, Deezer tient à se de son rival européen, le suédois Spotify. Mais les deux s ont adopté des stratégies très différentes pour conquérir le monde sans frontière de la musique. Des pays scandinaves, Spotify a pris pied au (où Deezer est présent en partenariat avec Orange UK) et aux Etats-Unis. Deezer a choisi le reste du monde (, , , ).
A l'étage, les open spaces et quelques bureaux, dont celui partagé par , le fondateur de Deezer, et son directeur général, . A terme, l'espace est prévu pour 170 salariés. Nous sommes bien loin de la chambre de bonne des débuts, puis de l'appartement [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie soldes[/url] de la rue Emile-Menier, dans le 16e, prêté par l'entrepreneur Xavier Niel (actionnaire à personnel du Monde).
Cette manne ne devrait pas entra?ner de changement de pavillon pour l'entreprise, qui demeure fran?aise mais développe des ambitions mondiales. Des bureaux à Londres, , , Barcelone, Sydney ou sont déjà ouverts. Mais le débarquement outre-Atlantique n'est pas prévu, pour l'instant. "Le jour où l'on met le pied aux Etats-Unis, on deviendra forcément américain", explique M. Dauchez.
France serait fortuite. Deezer, jeune pousse fran?aise devenue en cinq ans le numéro deux mondial du [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] streaming musical - ces titres que l'on écoute en ligne sans téléchargement - vient d'emménager dans de nouveaux locaux rue d'Athènes, à Paris. A deux pas de la gare Saint-Lazare, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] non loin du [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] siège hexagonal du géant américain.
A l'époque, les jeunes hommes doivent avec la concurrence de Jiwa ou de musicMe, mais surtout avec les exigences des majors. "Nos concurrents n'ont pas réussi à les avances réclamées par les maisons de disque", explique le programmeur.
Son intuition ? [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] La musique sera, [url=http://www.dk-p.com/cgi-bin/bbs2/aska.cgi]peuterey outlet Selecting The[/url] gr?ce à Internet, accessible partout et de manière illimitée. Le streaming marque le passage de la propriété (d'un disque, d'un fichier) à l'usage (l'écoute), et accessoirement du téléchargement piraté à une écoute légale. Un mouvement de fond : le bouche-à-oreille suffit à conna?tre le site, qui devient en quelques clics la coqueluche [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] des soirées étudiantes. Un robinet à musique très simple à .
Nouveaux locaux, nouveaux capitaux. Mercredi 10 octobre, les responsables de Deezer devraient une levée de fonds d'environ 100 millions d'euros. Un actionnaire [url=http://www.diprolenezkxei.fora.pl/alfie-there-teeth-bared-remember-that-thing-felt-comment,1/www-achbanker-com-homes-php-du-david-ou-du-cameron,37644.html#37518]www.achbanker.com/homes.php Du David ou du Cameron[/url] de poids va son entrée au capital de [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] l'entreprise : le milliardaire russe Len Blavatnik, l'un des donateurs de la campagne de . Dans le monde [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister[/url] de la musique, M. Blavatnik est surtout le propriétaire du numéro trois mondial du disque, , par le [url=http://www.mstxs.org/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=6964&fromuid=1343]boots ugg pas cher Automobile réunion de crise le 10 décembre à Bruxelles[/url] biais de sa holding .
Celui-ci entend plut?t accélérer la croissance de Deezer en suivant une stratégie en quatre points : un service mondial de streaming gratuit, créer la marque Deezer partout où elle n'est pas présente, la pertinence éditoriale du site et massivement dans le produit pour le encore plus "". De fait, la richesse du service repose sur la force des recommandations des utilisateurs et sur les cent millions de listes d'écoute (playlists) qui circulent.
Orange, qui détient 11 % du capital de Deezer, ne devrait pas à ce tour de table. En juin, l'opérateur de télécommunications a pourtant renouvelé le contrat qui le lie à Deezer depuis juillet 2010, et qui a largement assuré le développement du site de musique [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] en ligne. L'entreprise compte aujourd'hui plus de 2 millions d'abonnés payants et 20 millions d'inscrits, dans 172 pays.
Les fils pendent encore au plafond. Les salariés ont l'habitude : ils déménagent pour la cinquième fois. En bas, face au , une grande salle avec fauteuils et canapés moelleux, la cafétéria et une salle de garnie de vélos d'entra?nement et de punching-balls.
L'autre accord majeur [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] est celui signé avec Facebook, le 22 septembre 2011. La moitié des utilisateurs de Deezer s'enregistrent gr?ce au réseau social. Pas d'échange monétaire entre les deux partenaires. "Au départ, ils ne voulaient pas de notre service. Ils prévoyaient de ne que celui de Spotify, notre concurrent. Mais nous les avons convaincus gr?ce à notre technique", précise M. Marhely.
Mais la vie de la start-up reste périlleuse. A trois reprises, celle-ci fr?le la mort. La première fois, c'était le jour de sa naissance. La deuxième frayeur se produit en avril 2009. Deezer est sommé de deux millions d'euros à Universal, alors qu'il ne reste rien de la mise de départ de M. Niel, ni des cinq millions injectés début 2008 par les frères Rosenblum - les créateurs de Pixmania. In extremis, IdInvest, ex-AGF, entre au capital. "Nous signons dans la nuit, et au matin, nous portons le chèque à Pascal Nègre [PDG d']", raconte M. [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] Marhely.
Les deux sociétés n'ont pas la même approche des consommateurs. Spotify ressemble à un jardin à l'anglaise, c'est un joli jukebox où tout est proposé. Deezer met en avant des choix éditoriaux, partage ses coups de coeur et sa conception de la musique. Un modèle de jardin à la fran?aise.
A l'origine de Deezer, se cache la figure discrète de Daniel Marhely. Un petit surdoué du codage qui n'a pas son bac. Tout part de son idée de "scanner" le Web pour détecter les morceaux de musique mis en ligne par les internautes. Il les indexe, puis les met à disposition sur un site Internet [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] "avec une interface d'iPod, très sobre". En juin 2006, BlogMusik.net propose 200 000 titres.
La technique, en réalité, c'est lui : décalage horaire aidant, le jeune homme a passé des nuits entières à "brancher" son système sur celui de Facebook. Pour à la pointe, il organise des "hackathons" avec son équipe toutes les six semaines : 24 heures dans une grande salle, avec des pizzas et des bières, à se des défis techniques.
Vient ensuite la troisième crise, managériale cette fois. En janvier 2011, M. Marhely et M. Bennassaya se séparent - "conflit humain", l?che M. Marhely. Axel Dauchez arrive. Le courant passe bien avec ce polytechnicien qui a appris le marketing chez Procter & Gamble. "Avec Axel, Daniel Marhely a trouvé son bin?me complémentaire ", juge , directeur des partenariats de . "Je sais gérer l'hypercroissance, affirme Axel Dauchez, mais au départ, je ne croyais pas aux abonnements." Il se ravise en voyant les chiffres : les abonnés passent 40 heures par mois sur Deezer, avec un taux de satisfaction de 90 %. "En réalité, c'est une pépite que j'avais entre les mains."
Du jour au lendemain, le trafic quadruple. Entre septembre 2007 et septembre 2008, Deezer signe avec les quatre majors du disque : /BMG, EMI, Universal et Warner, sans plus de 1 000 labels indépendants.
La société devient rentable fin 2010, gr?ce aux partenariats qu'elle a su établir. D'abord, l'accord avec qui lui apporte 1,3 million d'abonnés, fin 2011. "Le passage au mobile, c'est aussi le passage au payant ", résume M. Dauchez. "L'accord avec Orange a rendu Deezer institutionnel, ce qui a facilité ses rapports avec les majors", souligne , managing partner chez Idinvest.
L'ENTREPRISE DEMEURE FRAN?AISE
C'est le début d'une histoire parfois agitée. En janvier 2007, Daniel Marhely rencontre , avec lequel il s'associe pour développer son projet. Xavier Niel, qui les a repérés, leur avance 250 000 euros. Peu après, le patron d'Iliad les prévient qu'Alice et Universal sont sur le point de une offre concurrente. " avez le pour un nouveau nom, un logo et un accord avec la Sacem [Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique]". Pari tenu : "Deezer" - "un nom de domaine simple et payé 2 000 dollars" est né, premier service légal d'écoute de musique en ligne.
LE TRAFIC QUADRUPLE
The post has been approved 0 times
|
|