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Le low cost est-il un moyen de se réinventer? ?Ouigo?, répond [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] la SNCF, qui a lancé, mardi 19 février, un nouveau train à bas co?ts, donc à bas prix. Il était temps! Le TGV [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] lancé il y a un peu plus de trente ans a pris un sacré coup de vieux. La France, à l’inverse de l’Allemagne et du Japon, avait fait le choix d’une offre accessible au plus grand nombre. [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi]hollister outlet sale Comment[/url] Mais le concept [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] s’est essoufflé. Au fil du temps, le TGV est devenu de moins en moins abordable.
Les objectifs de départ restent modestes: Ouigo ne [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] devrait capter la première année que 1% du trafic TGV. L’Unsa parle d’?ersatz de TGV?, la CGT de [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] ?troisième classe?. Ironie facile. Mais si Ouigo préfigurait le train de demain?
Guillaume Pepy, PDG de la SNCF, et aussi la créativité marketing maison ont beau affirmer la main sur le c?ur le contraire, toute une partie de la population n’a désormais plus les moyens de la grande vitesse. Les chiffres parlent d’eux-mêmes: en 2012, le nombre de voyageurs a baissé de 0,5% en un an.
L’époque des belles [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] années, où l’ouverture de nouvelles lignes permettait de cacher les problèmes, est révolue. Entre 2000 et 2008, le trafic du TGV a progressé de 42%. Sur les quatre dernières années, on est tombé à un rythme de 2%. Pas suffisant pour faire tourner le modèle, qui est de moins en moins rentable. En deux ans, la marge a dégringolé de 14,6% à 12,8%. Gênant quand [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] on sait que toutes ces dernières années, c’est le TGV, qui a permis de financer une bonne partie du reste de l’entreprise, structurellement déficitaire.
L’offre de billets à petits prix, iDTGV, lancée en 2004, puis Prem’s en 2005, n’ont fait que retarder l’inéluctable: une remise à plat du modèle. C’est le but de Ouigo, qui reprend, bon an mal an, ce qui a marché dans l’aérien. Taux de remplissage maximum, rotations plus nombreuses, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] et contrats de travail renégociés. En échange de prix attractifs, le voyageur, lui, accepte un certain [url=http://ns.sac.com.cn/wygkcn_GuestBook.asp]hollister[/url] nombre de contraintes (gares décentralisées, confort spartiate et précontr?le des billets [url=http://www.sclwsp.com/bbs/ShowPost.asp?ThreadID=59925]hollister sale Using Real Life Scenarios For MLM T[/url] obligeant à arriver à l’avance).
La vie était plus simple avant. Gr?ce à des co?ts d’infrastructures dérisoires, le TGV a longtemps prospéré. Mais aujourd’hui, la SNCF doit reverser à Réseau ferré de France, [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] des redevances qui [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] n’ont cessé d’augmenter. La compagnie ferroviaire a essayé de compenser le phénomène en augmentant le prix des billets, mais aujourd’hui, [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie pas cher[/url] la recette a atteint ses [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] limites. Le modèle économique du TGV, basé sur les volumes de passagers transportés est en panne.